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Le Fluor et l’Aluminium danger
De nos jours...
On compte sur le marché plus de soixante tranquillisants, plus ou moins puissants selon la proportion de fluor qu’ils contiennent. La concentration maximale autorisée dans l’eau distribuée dans nos robinets est de 1500 microgramme par litre, mais elle est régulièrement dépassée. Un nouveau matériau d’obturation de la carie dentaire, la Définite (mis au point par la société Degussa en Allemagne), arrive sur le marché. Ce matériau, de par sa composition, rejette des ions de fluor dans la bouche, et est capable de se recharger en fluor par l’alimentation ou la pâte dentifrice.
Les puissances financières colossales que constituent les industries chimiques et pharmaceutiques, et leur mainmise sur de multiples secteurs de l’activité économique de nombreux pays, assurent désormais leur suprématie sur l’ensemble des individus et des états, par une désinformation permanente du grand public, par le financement de leurs propres laboratoires de recherche et contrôle, et en « arrosant » certaines personnes dans les hautes sphères du pouvoir.
Premier exemple :
BAYER (Allemagne), 14éme groupe pharmaceutique mondial en 1997 possède 6 secteurs d’activité : produits agricoles, produits organiques, produits pharmaceutiques, produits industriels, polymères, techniques de l’information.
Deuxième exemple :
SANOFI (France), 18éme groupe pharmaceutique mondial en 1997, est sous le contrôle de L’Oréal (19,4%) et du groupe ELF (35,1%)... un groupe qui a des relations « intimes » avec la gent étatique.
L’aluminium
On a pu voir, l’année dernière, dans l’actualité, des avertissements quant à des contenances d’aluminium à des doses dépassant de 30 fois la norme dans l’eau de nos robinets. Ces avertissements étaient le fruit d’une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). L’INSERM avait déjà communiqué les premiers résultats de ses recherches en 1994 et en 1996.
Toutes ces mises en garde sont restées lettre morte. Pourtant l’aluminium est un neurotoxique qui peut être à l’origine de démences dégénératives, de fragilisations osseuses ou d’accidents cardiaques, car il s’accumule dans le cerveau, les os et les muscles. Le nombre de malades d’Alzheimer est proportionnel à la quantité d’aluminium dans l’eau potable.
La présence d’aluminium dans l’eau du robinet est le résultat de l’utilisation de sulfate d’alumine, dans les stations d’épuration, au moment de l’opération dite de « floculation » qui vise à purifier l’eau de certaines impuretés, des particules argileuses notamment. D’autres produits aussi efficaces, et inoffensifs, pourraient être utilisés, mais leur coût serait supérieur. De plus, la présence d’aluminium ne se cantonne pas seulement dans l’eau de nos robinets, mais se retrouve aussi dans les canettes de bière et de sodas, dans les rouleaux d’emballage, dans les casseroles, dans les tubes de sauces et de pâtes dentifrices, les ustensiles de cuisines.
L’impact économique et sanitaire d’une confirmation de l’étude citée plus haut serait catastrophique. La pression des lobbys des industriels, tel que Pechiney, l’un des principaux producteurs français d’aluminium, et de la Lyonnaise des Eaux ou encore de Vivendi (ex-Générale des Eaux) explique la minimisation de l’étude par les différents ministères concernés.
Pechiney est une entreprise dont la majeure partie du capital est détenue par des actionnaires institutionnels français (21,9%) et étrangers (48%), ainsi que Suez-Lyonnaise des Eaux (30% ; 30%), et Vivendi (24,5% ; 45,6%).
La panique boursière qu’engendrerait une annonce négative confirmée sur les effets alarmants de l’aluminium sur la santé publique signerait probablement la mise à mort de ces grands groupes, de par la fuite des capitaux qu’elle provoquerait.
Mais Suez-Lyonnaise des Eaux est actionnaire à 34,5% de la chaîne de télévision M6 et à 25% de TPS. Vivendi possède 52,6% de Télé Monte Carlo et 34% de Canal +, qui possède lui-même 70% de Canal Satellite. Voilà démontrée la dangerosité que représente la prise de pouvoir médiatique par les grands groupes industriels.
Le lien entre le fluor et l’aluminium
Le fluor est un des principaux dérivés de la fabrication de l’aluminium. Il a fallu rechercher des débouchés lucratifs à ces déchets fluorés. Le lobby industriel et financier a alors financé des études attestant l’innocuité des produits fluorés ainsi que leurs effets bénéfiques à faible dose qui ont été mis en valeur. Il en a été de même de l’aluminium.
L’Express (n° 2482, février 1999), se veut rassurant quand il affirme sous la plume de Vincent Olivier :« Il faut être clair : on ne risque pas de mourir en buvant de l’eau du robinet ». Mais quel crédit accorder à un magazine sous la propriété de Havas, absorbée elle-même par la Compagnie Générale des Eaux (devenue Vivendi le 15 mai 1998).
Comment ne pas s’interroger sur la possibilité que la fluorisation généralisée ne soit qu’une forme de contrôle social, de par l’effet sédatif qu’elle engendre.
Les intérêts en jeu dans cette affaire sont énormes, les effets sanitaires et psychiques ne le sont pas moins.
Le fait que l’utilisation du fluor et de l’aluminium ne cesse de se développer depuis les années 50, et cela dans l’indifférence générale malgré les nombreux avertissements lancés par des personnes qualifiées en la matière, prouve bien l’efficacité de l’effet annihilant du fluor sur l’esprit critique de tout à chacun.
Le maintient du statu quo grâce à la désinformation sur des sujets aussi importants alimente l’apathie de la masse somnolente, ce qui ne fait que servir les intérêts de ceux qui détiennent le pouvoir, qu’il soit économique ou politique.
Sources :
Les Echos, n°17789 à 17792, décembre 1998
Facteur X, n°12
Médecines Nouvelles, n°90, 1998
L’EXPRESS, n°2482, janvier 1999
France Soir, 25/09/98, 14/10/98, 22/10/98, 19/11/98
Sonia Deffrennes pour www.ADAPA.org
- Dangers du fluor
- Couverture du Jounral Vert consacré notamment au fluor