L’HOMME ELECTROMAGNETIQUE
Ce que je vous propose ici n’est pas un dogme rigide, comme peuvent l’être
certaines certaines "vérités" scientifiques mais simplement un sujet
de réflexion de discussion... Pour preuve l’évolution de ce propre texte par
une nouvelle avancée... que j’offre à tous ceux qui me
convient à continuer et m’encouragent par leurs courriers... et à la science
si elle est (encore) capable d’avancer (voir machinisme)
Beaucoup de polémiques naissent à propos des effets de
l’électromagnétisme sur le corps humain.
Mais peut-être pourrait-on se poser la question de l’être humain ? C’est ce
que je vous propose de faire ... du point de vue électromagnétique.
Comment en suis-je arrivé-là ? C’est une question secondaire, ce qui est
important c’est qu’un livre de première (troisième leçon d’électricité) a
suffi pour lancer ma réflexion... Il fut suivi de quelques autres bien entendu.
Comme tout exposé, nous commencerons par un peu de technique (mais sans
formules, je vous le promets) puis voir en quoi les réalités (vérifiées par
les physiciens) concernent le corps humain dans les champs
électromagnétiques
Les implications sur la réalité humaine sont abordées dans le chapitre : l’homme
et son environnement.
Puis confrontés à la simplicité de cette théorie, la question que nous
devons nous poser est "pourquoi pas plus tôt et avec
un peu plus de conviction" ?
La discussion est ouverte à vous de chercher à me contredire ou bien de
constater la triste réalité qui piège chacun de nos instants et détermine
ainsi notre mort bien plus sûrement que n’importe quelle bombinette... car
celle-ci est sans nul doute définitive...
Tout courrier polémique autre que les sempiternels "c’est idiot"
sans autres explications (j’accepte d’entendre que c’est idiot si l’argument
exposé est issu d’une véritable réflexion) sera intégré dans cette page
dans la partie polémique (avec la réponse) si vous l’acceptez évidemment. Je
vous le dis et le répète mon objectif est de créer un mouvement de réflexion
non un dogme.
Ce que le corps humain peut faire seul est sûrement au delà de notre
entendement. Peut-être faudrait-il sortir de nos limites un peu trop
matérialistes et bornées. Bien des choses nous dépassent, nous refusons bien
des faits sous prétexte que nous ne les touchons pas du doigt... Et comme le
professeur Feynman l’affirme dans ses cours (1964 ?) qui font encore référence
dans nos facultés de physique en ce qui concerne l’électromagnétisme :
"Mais que se passe-t-il vraiment lorsque nous étudions
"l’action directe" d’un morceau de matière en contact avec un autre ?
Nous découvrons que ce n’est pas un morceau en contact avec un autre : ils sont
légèrement séparés et il y a des forces électrique agissant à une échelle
minuscule". Que voulait-il dire ? Que le contact n’existe pas, que nous ne
touchons rien du doigt mais que ce sont bien des champs électriques qui se
rencontrent.
I) De quoi se compose la matière ?
En physique ainsi qu’en chimie, on considère la matière dans sa première
unité mesurable et cohérente : l’atome. Puis on remonte aux échelons
supérieurs : la molécule jusqu’à la cellule et enfin à la matière.
Reprenons donc la base de toute matière : l’atome.
Qu’est-ce qu’un atome ? Tout chimiste en herbe vous dira que c’est un noyau
avec des électrons qui tournent autour... oui mais qui ne représentent à eux
seuls que 0,001% du volume de l’atome ! Le reste c’est du vide, enfin pas
vraiment du vide, mais un champ électromagnétique qui donne à l’atome sa
cohésion ainsi qu’il participe à sa masse et sans lequel l’atome n’existerait
pas.
Donc la matière est faite à 99,999% d’énergie. Ce champ
électromagnétique qui est à l’origine de toute matière, nous l’appellerons
le champ interne ou champ premier. Il est en général inerte et ne participe
qu’à la cohésion de la matière et à sa masse. Il est scientifiquement
accepté.
Jusque là, l’homme n’est guère différent du reste de l’univers mais la
physique va plus loin.
II) L’effet des courants électriques : le monde du mouvement
électrique.
Une des premières leçons d’électricité s’énonce ainsi :
"Tout courant électrique traversé par un champ magnétique crée une
force appelée champ électromagnétique."
Nous, les animaux et sans nul doute (à moindre titre peut-être) les
végétaux, nous sommes parcourus par des courants qui nous sont propres (la
sève, le sang, le système nerveux.... etc.), ceci nous différencie d’un
pierre ou d’une barre de fer car, la terre étant parcourue par un champ
magnétique, nous générons un nouveau champ électromagnétique que nous
appellerons le champ secondaire.
Il est à noter que le mouvement accentue la force de ce champ.
L’existence de ce champ est indéniable également. Il est le moteur de la
vie et doit être le lien entre le champ de la matière pure (champ premier) et
le champ primordial dont nous parlons dans le chapitre suivant. .
III) La fonction solénoïde et le champ primordial.
A) La loi physique :
Poussant un peu plus loin la loi énoncée plus haut, la science physique
énonce ceci
"Toute spirale constituée d’une matière conductrice parcourue par un
courant d’électrons génère un champ électromagnétique.
Réciproquement tout champ électromagnétique traversant une spirale
constituée d’une matière synthétique génère un courant d’électrons dans
cette spirale."
En cela rien de bien choquant, nous nous en servons tous les jours en
allumant notre lumière ou en nous servant de nos appareils électroménagers.
B) La molécule d’ADN
D’aucuns se posent la question de la forme de la molécule d’ADN (double
spirale) et du manège des électrons dans cette spirale...
Qui dit circulation d’électrons dit courant... Mais alors cette molécule
minuscule aurait donc la capacité d’émettre et de "réceptionner"
des champs électromagnétiques ?
Bien sûr ! Nous lui avons trouvé et reconnu des fonctions au niveau
biologique mais il est surprenant que personne n’ait osé formuler celle-ci et
pousser un peu plus loin la question, car cette fonction de capteur de champ est
tout aussi indéniable que les autres et elle les explique sans doute.
Quel est donc l’intérêt d’une telle fonction ? Sûrement bien plus
essentiel qu’il n’y paraît dans notre continuité en tant qu’êtres vivants...
(et nous en revenons à la question du bombardement systématique de nos corps
par des champs électromagnétiques, mais nous en reparlerons). Contentons-nous
pour l’instant de constater cette fonction...
C)La molécule nerveuse, le mystère des dendrites.
La molécule nerveuse est constituée d’un noyau (véritable générateur de
courants d’électrons) d’où émergent des filaments étrangement terminés en
spirales dont la biologie n’explique pas la forme, les dendrites...
De là à dire qu’elles jouent un rôle d’émetteurs-récepteurs de champs
électromagnétiques, il n’y a qu’un pas que je franchirai sans scrupules car,
quoiqu’il en soit, et quelles que soient ses autres fonctions, celui-ci est
indéniable de la même manière que le rôle de récepteur de la molécule
d’ADN.
Cette particularité nous oblige à regarder autrement la communication entre
les cellules nerveuses qui ne serait pas électrique mais électromagnétique et
donc non liée à la contiguïté des cellules. Cela implique une rapidité plus
importante de déplacement de l’information mais également moins précise quant
à sa localisation.
Cette fonction de la cellule nerveuse a bien des conséquences, sur la
localisation de la mémoire ainsi que sur notre vie en général et devrait nous
mettre en garde contre bien des fléaux que notre société génère sans
vouloir trop y réfléchir qui menacent sans nul doute jusqu’à l’existence à
long terme de l’homme en tant que tel.
Car il faut savoir que nous avons dans le corps des milliers de milliards de
ces émetteurs-récepteurs dont les deux types cités ici ne sont pas les seuls
types de cellule ayant cette forme de spirales, mais je laisse aux spécialistes
le soin de compléter cette liste...
Ce champ géré et généré par les cellules nerveuses est le champ
primordial car il est celui de la conscience.
IV) Les champs électromagnétiques ?
Qu’en savons-nous ?
En fait pas grand chose et apparemment peu de scientifiques s’intéressent à
la chose (par manque de moyen également car nous arrivons ici à la limite du
mesurable actuellement et que les implications ne sont pas seulement
"mécaniques" comme le désirent les financeurs de la recherche dont
le seul but est de vendre). Il est à retenir que les champs
électromagnétiques font l’objet d’une seule unité de valeur sur tout un
cursus scientifique jusqu’à la Maîtrise.
Ce que nous savons se résume (en gros) à ces quelques points qui nous
suffiront pourtant à étayer les chapitres suivants :
- Le champ électromagnétique est composé de vibrations et de particules plus ou moins stables qui sont à l’origine de la matière et dont nous connaissons l’existence comme les photons que transporte la lumière (qui est un champ électromagnétique que nous voyons)...
- Les particules d’un même champ restent solidaires entre elles quelles que soient les distances qui les séparent.
- Il est éternel (si l’éternité existe)...
- Il est la composante essentielle du noyau d’où jaillit l’univers il y a quelques milliards d’années (big bang), il est donc générateur de matière.
- Il est une composante de la masse.
Peut-être en oublié-je, mais de cela déjà peut naître une théorie qui
devrait bouleverser notre notion d’humanité : l’être humain est bien un tout
cohérent mais indissociable de son environnement avec lequel il communique sans
cesse sans que la nuisance ou l’effet bénéfique de cette interaction soit
réellement mesurable dans l’immédiat (ou plutôt tant que nous ne désirerons
pas la mesurer...).
(*)électromagnétiques : sont regroupés dans cette appellation et
les champs électriques et les champs magnétiques parce qu’il est impossible de
les distinguer autrement que lorsqu’on en connaît la source.
Électromagnétique : introduction.
Électromagnétique : l’homme et son environnement.
Les conséquences pour l’homme
et pour son environnement.
Jusqu’à présent, les énoncés étaient du pur recoupement des
connaissances actuelles (en tout cas celles que j’ai eues en ma possession),
maintenant, je vais essayer de présenter ce que cela pourrait entraîner au
niveau de l’homme et de son environnement. Ce ne sont bien sûr que des
hypothèses mais il serait maladroit de prétendre que ce ne sont que de pures
conjectures. Mon raisonnement reste toujours de la déduction et son principe
est scientifique dans ce sens (en tout cas au moins autant que les hypothèses
émises par déductions statistiques), ce qui me manque est une expérimentation
que je ne saurais réaliser par mes pauvres moyens. Par contre un horizon tout
neuf s’ouvre à des chercheurs qui manquaient simplement de base de travail...
Pour les implications sur l’être humain, je vais essayer de scinder mon
raisonnement en deux parties qui sont sûrement indissociables mais ainsi
j’espère rendre la lecture plus aisée.
I) Les conséquences de l’existence du champ électromagnétique sur le
fonctionnement du corps humain.
A) Le fonctionnement de la cellule nerveuse.
Ce qui est nouveau dans cette théorie, c’est la prise en compte de la
qualité d’émetteur récepteur de la cellule nerveuse. Il n’est pas question de
renier de quelque manière que ce soit les principes de communication pris en
compte par la biologie actuelle (mais de les remettre à leur place : ils ne
sont sûrement que des simples composantes de la théorie du champ : ce n’est
pas parce qu’un émetteur radio est branché sur le courant fourni par EDF ainsi
que mon poste récepteur que la communication se fait par le courant
électrique...
1°) Le principe de la communication.
A chaque impulsion du noyau de la cellule, les dendrites sont parcourues par
un courant d’électron qui génère un champ électromagnétique. Au moins une
dendrite d’une cellule adjacente ou non recevra ce champ et le transformera en
courant qui renseignera le noyau de la cellule réceptrice.
Cette communication entre les cellules n’est peut-être pas la seule mais
nous ne pouvons en nier l’existence. Il ne nous reste qu’à bien vouloir la
quantifier et l’observer. Notons tout de même que, contrairement au courant
d’électrons qui est éphémère, le champ électromagnétique se maintient et,
étant généré par cette source qu’est le corps, reste solidaire des autres
éléments du champ électromagnétique générés par cette source.
De là les hypothèses énoncées ci après.
2°) Le véritable siège de la mémoire.
L’une des problématiques qui se posent dans la biologie actuelle est la
situation de la mémoire. Plusieurs expériences ont montré qu’aucune zone du
cerveau ne pouvait en être le siège. Il a été montré que certaines zones,
dans un cerveau normalement constitué étaient les sièges privilégiés de la
gestion de la mémoire, mais les exceptions prouvent que ces zones jouent un
rôle par défaut et non à titre définitif : en cas de lésion d’autres
parties du cerveaux semblent prendre la relève dans certains cas.
Ceci étant éclairci, reprenons notre raisonnement : chaque impulsion
électrique du système nerveux génère un champ électromagnétique, donc nos
pensées également, ce que nous voyons, ce que nous sentons, ce que nous
ressentons...
ET LA PARTICULARITÉ DU CHAMP EST QU’IL EST COHÉRENT ET DURABLE !
Mais alors si les composants de notre mémoire ne se situaient pas dans le
cerveau mais bien dans notre champ électromagnétique ?
C’est évidemment une hypothèse mais qui ne peut être censément écartée
ou pire ignorée : si notre mémoire a bien un siège matériel ( ce qu’il
faudrait encore prouver, nous avons peut-être trouvé les centres de gestion
mais pas forcément la localisation : ce n’est pas parce que l’interrupteur
commande à la lumière qu’il est la lumière), le siège électromagnétique
n’en existe pas moins... Il y aurait alors deux centres de réception de la
mémoire mais dont l’un dépasserait le temps de la vie...
C’est un point essentiel mais certainement indéniable de la biologie
électrique de l’être humain. Il nous emporte plus loin et toujours plus loin
dans une réalité que nous avons du mal à effleurer, c’est pour cela que je
conçois bien qu’elle fasse peur à certains.
Le rôle du cerveau ?
C’est un énorme gestionnaire de banques de données qui les trie, les
refoule, les recoupe et raisonne logiquement à partir de tout ça. Ne
trouvez-vous pas que ce soit déjà beaucoup pour un si petit organe (en tout
cas plus petit que mon ordinateur qui n’en fait pas le dixième) ?
Quoi qu’il en soit, cette situation de la mémoire (même si elle n’est pas
la seule, je persiste, elle n’en existe pas moins) va impliquer une autre
répartition des informations et n’exclut nullement le rôle de tout le corps
dans la gestion des informations.
De plus, nous avons peut-être ici une notion d’âme" qui dépasse le
champ mystique pour rejoindre le scientifique... Mais il en sera question plus
loin.
B) La solidarité du corps
Notre vision du corps est actuellement "machiniste" dans le sens
où on le considère comme un ensemble d’organes dont chacun a une fonction
précise, ce qui rend possible les ablations, les greffes, etc...
Il ne faut pas renier aux organes les fonctions qui leur sont propres mais
voir également leur fonction par rapport au reste du corps.
De par l’existence du champ électromagnétique et la solidarité des
composantes de ce champ, il est plus difficile de ne considérer le foie que
comme une simple pièce d’une machine : il est sans nul doute lié au corps par
des cellules bien physiques mais aussi par des liens énergétiques tout aussi
physiques mais moins mesurables... tant que nous n’avons pas fait l’effort
d’essayer de les mesurer.
Par contre, il est surprenant de voir le nombre d’émotions reliées à des
organes (depuis le début des temps), une sorte de matérialisation de
l’immatériel mais pas seulement car les organes ne sont pas choisis au hasard.
Par exemple, pour le foie (puisque nous en parlons) ne dit-on pas "se faire
de la bile" ou encore un caractère "bilieux" ?
Outre sa fonction purement digestive et d’élimination de toxines, le foie
transmet et reçoit des informations de tout le corps , le rôle de ces
informations reste à préciser mais il n’est pas exclu qu’elles puissent en
perturber ou en améliorer le fonctionnement.
Ma réflexion vient en complémentarité de la vision biologique actuelle,
elle vient la compléter, elle n’en renie pas les fondements, elle les élargit.
C) Et si les cancers ...?
Il a été montré que les cellules atteintes d’un cancer ne vibraient
pas à l’unisson avec le reste du corps. Il semblerait donc que les origines des
cancers soient des éléments extérieurs forts (alcool, tabac, médecine
allopathique, exposition aux émetteur de champs à basse fréquence (vibrations
externes)....) engrangés par le corps en trop grande quantité et qui font
vibrer un ensemble de cellules sur une nouvelle fréquence et entraînent une
autodestruction par réaction en chaîne.
Il est possible qu’il en soit de même pour nombre de maladies atteignant le
système nerveux comme la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson et
autres qui "attaquent" le système nerveux de façon désordonnée
mais systématique...
Bien sûr, il ne s’agit ici que d’hypothèses dont la véracité reste à
prouver mais qui ne peuvent, elles non plus, être écartées sans autre forme
de procès...
D) Le champ et le poids.
Jusqu’à preuve du contraire qu’apparemment nombre de scientifiques ont
tenté, il est une autre propriété du champ électromagnétique qui passe
pratiquement inaperçue mais qui pourrait être d’une utilité importante : le
champ électromagnétique intervient dans la masse, ce qui pourrait vouloir dire
que les histoires de "lévitation" ne sont pas à mettre au pilori de
l’ignominie des délires métaphysiques..
Mais sans aller jusque là, nous savons que des karatékas peuvent briser des
briques du tranchant de la main, que des personnes malingres peuvent, lors de
colères, réaliser des tours de force qu’elles sont incapables de reproduire
dans un état "normal". C’est la simple preuve que nous pouvons
modifier l’intensité de notre champ et ainsi augmenter la résistance de chacun
de nos tissus...
Comment y arriver ? Le plus simplement du monde : en ayant véritablement
conscience qu’il existe et en créant la tension qui nous fera sortir de nos
gongs et puiser ainsi dans nos ressources...
Mais nous aurons toujours la limite de nos propres ressources.
C) Et si les quatre forces fondamentales n’en étaient qu’une ?
En physique nous considérons qu’il y a quatre forces : les forces
newtoniennes (la pomme qui est la preuve de l’attraction de la terre), les
forces électromagnétiques et les liaisons nucléaires faibles et fortes. Les
trois dernières ont été rapprochées entre elles, mais le lien avec la
première n’a pas été réalisé. Feynmann nous apprend que l’influence du
champ électromagnétique sur la masse des objet a été immédiatement (et sans
succès) attaquée. Par contre nul n’a essayé de trouver ici le lien entre la
force électromagnétique et la force d’attraction proportionnelle à la masse
des objets (elle même proportionnelle au champ électromagnétique) et
inversement proportionnelle au carré de leur distance...
La conséquence de ceci est beaucoup plus importante que le simple fait
de l’énoncer. Que fait l’homme actuellement ? Il est en train de perturber
constamment et de façon exponentielle le champ électromagnétique de la terre
matérialisé par son pôle nord et son pôle sud... La première incidence
peut-être une rotation de l’axe de la terre entre deux nouveaux pôles lorsque
l’intensité des champs générés sera suffisante puis, si cela continue par
une augmentation de la masse de la terre et donc une modification de
l’équilibre dans le système solaire qui sera progressive et donc tout à fait
dangereuse pour l’homme qui s’avère incapable de tenir compte de ce qui se fait
progressivement comme la fonte des pôles actuellement... s’accordant toujours
plus de temps pour continuer à gagner de l’argent...
D) Une zone du corps assez particulière : le plexus.
La zone intéressante (et pas seulement parce qu’elle fait le lien avec le
chapitre suivant) est celle qui entoure le plexus : c’est une zone du corps à
forte densité de dendrites. On a tout de même le droit de se demander pourquoi
! Peut-être serait-il intéressant de faire le lien avec l’estomac qui se situe
dans cette zone.
A quoi servent ces dendrites, à cet endroit précis ? Il est peut-être
temps de faire référence à ceux qui ont découvert que le corps était un
réseau d’énergies, bien avant la naissance de la physique quantique et même
de la découverte du principe de l’électricité, je veux parler des extrêmes
orientaux : pour eux le plexus est le centre de communication d’énergie avec
l’environnement...
Un large réseau de dendrites ne serait-il pas un moyen de communication
d’énergie ? Bien-sûr rien ne le prouve mais il n’empêche qu’il émet et
reçoit des énergies et si ce n’est pas ça la communication alors je ne sais
plus ce qui est vrai... même pas ces lignes... Il est vrai que je ne possède
aucune preuve de ceci mais peut-être qu’en poussant un peu le raisonnement ...
Une des maladies de notre siècle est l’ulcère à l’estomac qui a été
longtemps au dire de certains une maladie psychosomatique par excellence.
Pourquoi affirmait-on une telle chose ? Parce qu’on s’était aperçu qu’un
isolement complet avait généré des guérisons spontanées d’ulcères à
l’estomac ? Pourquoi donc ?
La nature même de l’ulcère peut nous mettre sur la voie : les symptômes
sont une sorte de brûlure des tissus (un trop plein d’énergie ?).
Et si, tout simplement, ce réseau dense de dendrites servait à capter les
énergies qui nous entourent ? Alors le résultat de l’isolement s’expliquerait
légèrement différemment : l’absence d’agressions sur les êtres humains
concernés entraîne un retour à la normale, non seulement parce qu’ils se
sentent mieux psychologiquement mais aussi et surtout parce qu’aucune
source parasite ne vient les assaillir. Ce retour à la normale fait que les
individus n’ont plus besoin de bloquer leur centre de communication et ne se
brûlent donc plus les tissus...
Quelles peuvent être ces sources qui nous parasitent ?
En dehors des agressions (énergétiques, bien sûr) des voisins et autres
petits chefs qui savent bien vous "bouffer l’énergie", la société
actuelle en génère de nouveaux chaque jour. Sachons simplement que, étant
donné leur taille, nos petits émetteurs récepteurs sont extrêmement
sensibles, bien davantage que les appareils de mesure dans les services
hospitaliers où sont interdits les portables ou que les appareils des
cardiaques qui supportent très mal les fours à micro-ondes. Alors pourquoi nos
récepteurs humains ne seraient-ils pas brouillés par ce genre d’appareil ? Que
dire des lignes à haute tension et autres réseaux électriques ? Il n’est pas
là question de remettre en cause des appareils qui peuvent nous être utiles
mais qu’il faudrait sans doute apprendre à les utiliser un peu moins
systématiquement et avec un peu plus de précautions...
De même, si nous acceptons le fait que les dendrites communiquent avec le
corps, pourquoi ne recevraient-elles pas des "messages" de
l’extérieur ? Il existe une perturbation que nous avons du mal à concevoir car
elle dérange notre côté cartésien un peu limité : celle que nous ressentons
tous les jours mais que nous n’arrivons pas à définir qui vient des relations
énergétiques entre les personnes...
C’est ce dont il est question dans le chapitre suivant :
II) L’homme et son entourage.
Je comprends bien que certains d’entre vous, lecteurs, puissent penser en
lisantce qui suit que cette partie reste floue et sans fondement réaliste...
Je vous demande donc de bien vous regarder, d’observer vos propres
attitudes, d’observer enfin le monde qui vous entoure et vos réactions à
celui-ci... Alors vous pourrez me faire part de vos réticences et sans nul
doute en reparlerons-nous...
Quoiqu’il en soit il me faut tout de même apporter des précisions sur les
implications de l’existence des champs et préciser les dangers de l’interaction
des énergies.
A) Le dialogue avec l’extérieur.
Comme dit précédemment, les dendrites captent tout ce qui passe à leur
portée , alors posons-nous la question de ce qui passe à leur portée !
La réponse est évidente : toutes les énergies à "extrêmement basse
fréquence" (ELF pour les puristes) comme les messages des autres
dendrites, bien sûr, mais également les "messages" de tout ce qui
émet ce genre de fréquences : téléphone portable, micro-ondes, rayonnement
des planètes...
A partir de là, nous ne pouvons nier la possibilité de
"dialogues" entre les champs de personnes voisines ou liées par des
liens affectifs (qu’ils soient d’amour ou de haine).
Notre corps est un conducteur qui n’est pas recouvert d’une gaine isolante,
cela entraîne obligatoirement une "dispersion" de son champ
électromagnétique autour de nous, et donc comme vu dans le chapitre
précédent une dispersion de nos pensées et de notre mémoire
(électromagnétique).
Pourquoi alors refuser la possibilité que cela soit capté par d’autres
récepteurs que ceux de notre propre corps ? A moins de preuve du contraire, je
ne crois pas que nous puissions l’écarter.
Il y a forcément interférence de champs lorsque deux personnes se touchent
ou sont proches l’une de l’autre ; mais comment être sûr qu’il n’y a pas
interférence lorsque je pense à une personne. Réaliser une
"projection" de pensées devient admissible si on considère la
solidarité des particules de champ émises par une même entité.
Cela nous oblige à reconsidérer l’existence de la transmission de pensées
et de beaucoup de phénomènes dits paranormaux qui ne seraient alors que de
simples phénomènes physiques, n’en déplaise à certains.
Enfin cela suppose également que les champs des objets puissent être
"imprimés" par la mémoire de ceux qui les touchent...
B) Troubles psychologiques ou troubles de l’entourage ?
Nous en arrivons à une problématique que je vais me contenter d’aborder
sans la pousser plus loin (pour l’instant) car il faudrait pour cela une
expérimentation à grande échelle que je n’ai pas les moyens de réaliser. Je
me permettrai donc de simplement poser les questions (auxquelles nous
connaissons probablement tous les réponses mais sans avoir osé nous l’avouer)
après ce préliminaire.
Récapitulons :
- Existence d’une "enveloppe" électromagnétique qui nous entoure
avec laquelle notre corps dialogue sans cesse - Le contenu de cette enveloppe correspond à toutes nos pensées, nos
sensations, nos sentiments, en fait toute notre vie. - Le cerveau va "chercher" ces informations pour les utiliser en
tant que données pour le raisonnement, ce qui peut entraîner une
assimilation de "données étrangères" (avec sûrement un
problème de codage-décodage). - Le champ n’a pas de véritable limite dans l’espace (solidarité des
particules). - Possibilité de capter les champs de notre entourage (physique ou
psychologique).
Questions.
- Le phénomène de "foule" est-il si inexplicable ?
- La télévision émettant des champs électromagnétiques ne peut elle pas
nous influencer ? - Lorsque je refoule une pensée ou un sentiment et que donc je l’éloigne
de moi, ne les rapproché-je pas de ceux qui m’entourent ? - Si je n’y prête pas attention comment puis-je différencier mes propres
pensées de celle des autres ? Jusqu’à quel point puis-je être perturbé
par cela ? Au point de ressentir et de faire mienne la colère refoulée de
mon voisin ? - Comment être sûr que la perturbation ne puisse pas être importante au
point d’entraîner ce que nous avons coutume d’appeler la folie ?
Je reste persuadé que bien des problèmes dits psychologiques seraient
résolus par la "connaissance" et la reconnaissance des messages.
Il y aurait quelques "gestes" mentaux premiers à apprendre pour
commencer à contrôler notre champ et les conséquences que nous révèle
l’acceptation de son existence. Mais cela semble dépasser le cadre actuel de
l’éducation, la faute à qui ? A personne, à tout le monde mais d’abord à
tous ceux qui, consciemment ou pas, utilisent ces moyens pour prendre un pouvoir
quel qu’il soit (par exemple les animateurs de télé, les annonceurs
publicitaires, etc...).
Ne polémiquons pas et allons plus loin.
C) La vie de la mort ?
Nous pouvons remarquer :
- Le caractère immortel du champ électromagnétique : il en va de même
donc pour notre mémoire électromagnétique. Les particules qui le
composent sont solidaires. Ce qui veut dire que notre champ ne meurt pas
avec notre mort, par contre, il reste prisonnier du champ
électromagnétique de la terre... - Pour réaliser les fécondations "in vitro" ainsi que les
clonages, les biologistes ont besoin de la présence d’un fort champ
électromagnétique (source de lumière ou bombardement d’électrons...) en
tout cas supérieur au seul champ de la personne qui manipule...
Ce qui voudrait dire que la femme, pour féconder a également besoin
d’un autre champ électromagnétique (connu des biologistes mais pas reconnu en
tant que champ indépendant...). Où pourrait-elle le trouver ?
Je ne peux que constater cette réalité, nous nous rapprochons certes de la
réincarnation mais seulement d’une mémoire pas d’un être...
D) Conclusion.
Je reconnais que cette partie peut vous paraître nébuleuse mais je ne peux
que constater que d’étranges corrélations existent et ne sont nullement prises
en compte par nos scientifiques, alors qu’il suffirait pour beaucoup de choses
de simplement recoller les morceaux comme je viens de le faire...
Maintenant, vous avez lu un essai qui, faute de vous avoir convaincus, vous
aura fait effleurer un problème que, j’en suis persuadé, vous aviez déjà
pressenti pour la plupart, et j’espère seulement que vous en ferez bon usage en
essayant de pousser plus loin mon raisonnement et en le corrigeant s’il vous
paraît parfois incomplet....
Électromagnétique : introduction.
Électromagnétique : les champs électromagnétiques.
S i vous avez lu ces pages, une question reste en suspens :
Pourquoi une théorie si évidente
n’a pas été émise plus tôt ?
Je ne pense pas qu’elle ait été complètement ignorée, mais les personnes
qui l’ont formulée avant moi, se sont trouvé confrontées au même
questionnement : ça ne peut pas être si simple...
Et pourtant si ! Même si cette simplicité cache un phénomène bien plus
complexe et pour lequel il faudra bien des années de recherches encore...
Mais le plus gros obstacle que rencontre ce genre de recherche est
essentiellement économique : une théorie n’est intéressante que si elle ouvre
un champ d’enrichissement (appelé croissance en économie), ou du moins si elle
ne heurte pas les sources d’enrichissement existantes.
Prenons l’exemple du Professeur Benveniste qui a osé émettre une hypothèse
simple et presque évidente de "la mémoire de l’eau"... Le courroux
"céleste" n’a pas tardé à lui couper l’herbe sous les pieds en
démantelant son service (et lui brûler ses archives, ce qui aurait
tendance à nous ramener quelques siècles en arrière du bon temps de
l’inquisition) : il avait osé mettre en "péril" les industries
pharmaceutiques allopathiques qui se sentaient menacées par cette preuve de
possibilité d’un effet réel de l’homéopathie.
La théorie de l’électromagnétisme, de part les ouvertures sur les
possibilités de l’être humain ne peut accepter que l’homme soit encore au
service de l’économie... De là une remise en cause complète des principes
économiques et même politiques (puisque ces derniers supposent que le monde
repose sur l’économie), alors comment accepter une hérésie telle que
l’électromagnétisme...?
Je développerai ultérieurement les raisons pour lesquelles le mode de
fonctionnement actuel de notre société ne peut cadrer avec une reconnaissance
des valeurs électromagnétiques de l’être humain.
Electromagnétique : introduction.
Electromagnétique : les champs électromagnétiques.
Electromagnétique : l’homme et son environnement.
Je me suis trompé !.... Rassurez-vous ! Partiellement et surtout dans
l’expression des faits scientifiques :
Il y a deux manières de concevoir le champ électromagnétique : l’acteur et
le "messager"...
En quoi le champ est-il acteur ?
Il l’est dans sa participation à la masse, il l’est donc dans le sens qu’il
est la force universelle qui réconcilie les quatre forces universelles
(l’attraction, la force électromagnétique et les forces nucléaires faibles et
fortes)...
Actuellement dans les études de physique, il ne représente qu’une infime
partie des connaissances (une petite unité de valeur sur l’ensemble des cycles)
alors qu’il y est fait référence un peu partout... Un agrégé de science a
osé me répondre que ne sont que des broutilles sa participation à la masse et
sa présence dans la matière... Alors que justement là réside son
universalité... Mais la réponse de ce monsieur ne faisait que refléter son
savoir en la matière : plus nul que le mien... Ce qui me gène le plus est
qu’il prônait un peu plus tard la méfiance contre l’ignorance... Mais il ne
devait pas parler de la sienne...
Il me paraît étrange qu’aucune recherche sérieuse ne soit réalisée
sur la participation du champ dans la masse, que personne ne tente d’en trouver
la proportion et d’établir une relation mathématique entre les deux. Je m’y
attelle ne vous inquiétez pas : le temps pour moi de monter ma machine
infernale... Toujours est-il qu’Einstein avec son E=mc², n’en était peut-être
pas si loin que ça... mais est apparue la théorie des quanta... qui
semblait-il gommait tout... alors qu’elle était complémentaire mais seulement
complémentaire, même si elle apportait un "absolu" dans une théorie
de la "relativité".
Donc à bientôt pour des nouvelles sur les expériences...
En quoi le champ est-il messager ?
Les photons qui nous parviennent de l’autre "bout" de l’univers et
nous permettent de voir de très vieilles étoiles ne se déplacent pas tous
seuls, ils sont transportés par un champ qui ne les quitte pas, dont ils
restent solidaires. Il en est de même pour les sons.
Le rôle du champ est alors de simplement transmettre ce que des antennes
recueillent (charges, photons, vibrations).
Lorsque nous regardons, lorsque nous sentons, lorsque nous touchons, nous le
faisons toujours par le biais d’un champ électromagnétique... de la même
manière que notre télévision "hertzienne" nous retransmet les
images et que nous captons les radios ou les téléphones portables...
Au niveau physiologique, n’en déplaise à certains biologistes ou
physiciens, nos spirales jouent, par le simple fait de leur existence, le rôle
de capteurs-émetteurs (et j’attends encore le contradicteur sensé qui me
prouvera le contraire). Le tout est de connaître la fréquence de ce qu’elles
captent et pour cela, il faut les étudier bien différemment de ce qui est fait
actuellement...
Dans les études scientifiques, les champs sont abordés (mais juste
effleurés, mais abordés quand même) en optique, dans l’étude des sons, en
électricité mais pas en biologie alors que l’optique c’est l’œil non ?, les
sons, c’est l’oreille non ? , l’électricité c’est le système nerveux, non
?... Il est vrai que lorsque les physiciens donneront une place un peu plus
importante au champ électromagnétique, alors la biologie sera un peu
contrainte d’en tenir compte...