Sommaire
- Les trois quart des patients gardent des séquelles telles un handicap moteur ou des difficultés à s’exprimer. Une personne sur 5 décède dans le mois qui suit un AVC.
- Des symptômes d’alerte sont :
- -* les accidents d’origine ischémique, lorsqu’une artère se bouche. Ce sont les plus nombreux (80%).
- -* les accidents d’origine hémorragique, lorsqu’un vaisseau sanguin se rompt. Ils représentent 20% des AVC. Ils touchent des populations moins âgées et sont généralement plus sévères.
Les trois quart des patients gardent des séquelles telles un handicap moteur ou des difficultés à s’exprimer. Une personne sur 5 décède dans le mois qui suit un AVC.
Des symptômes d’alerte sont :
- la paralysie brutale ou un engourdissement brutal d’un coté du corps,
- des difficultés soudaines à parler ou à comprendre,
- une diminution brutale de la vision d’un œil ou des yeux,
- instabilité de la marche inexpliquée ou chute soudaine, troubles de l’équilibre, vertiges.
Ces symptômes doivent inciter à composer le 15 dès leur apparition même s’ils régressent en quelques minutes car les traitements sont d’autant plus efficaces qu’ils sont administrés très rapidement.
Un accident vasculaire cérébral survient lorsque le flux sanguin rencontre un obstacle (caillot sanguin ou vaisseau sanguin rompu) qui empêche son passage vers les différentes parties du cerveau, ce qui prive ces dernières de leur apport vital en oxygène, causant leur dysfonctionnement puis la mort de leurs cellules nerveuses en quelques minutes.
Il y a deux types d’AVC, selon la nature des troubles de la circulation sanguine en cause :
- les accidents d’origine ischémique, lorsqu’une artère se bouche. Ce sont les plus nombreux (80%).
- les accidents d’origine hémorragique, lorsqu’un vaisseau sanguin se rompt. Ils représentent 20% des AVC. Ils touchent des populations moins âgées et sont généralement plus sévères.
Psychomédia avec sources :
SFNV
Fédération France- AVC
AMESSI