SILENCE, LES AUTORITES MEDICALES ONT PARLE
J’ai dû moi-même, non seulement trouver un médecin pour déclarer le cas de notre fille à la protection de la santé publique mais aussi, faire les démarches auprès de la compagnie pharmaceutique pour signaler le cas. Cette dernière devait faire suivre la déclaration à Santé Canada, ce qui n’a pas été fait puisque l’histoire de notre fille n’a jamais été retrouvée dans les statistiques de la Direction de la santé publique canadienne. Nous pouvons donc conclure que contrairement à ce que mentionnait Dr De Wals, les systèmes mis en place pour détecter les incidents et les accidents post-vaccinatoires, les enquêtes et les études qui doivent en découler ne fonctionnent tout simplement pas. Alors comment peut-on sonner l’alarme afin d’éviter ce drame à d’autres familles lorsque nos dires sont ridiculisés, méprisés et que personne du milieu médical n’ose prononcer le mot « choc post-vaccinatoire » sans craindre la foudre de l’hérésie ?
Quoique très valable et rassurante pour les autorités médicales et gouvernementales, la pharmacovigilance ou les études post-commercialisation sont non seulement théoriques mais inefficaces puisqu’il sera toujours impossible d’avoir un portrait clair et précis des effets secondaires si seulement 2% des cas, à travers le monde, sont rapportés.
Pour s’assurer que les vaccins soient sécuritaires, il faut aussi valider leur innocuité au niveau de leur toxicité pour l’humain. Malheureusement, il n’y a aucun médecin, spécialiste ou toxicologue qui peut certifier qu’il n’y a pas d’interaction entre les différents produits que l’on retrouve dans les vaccins et de plus, on ne connaît pas l’interaction directe ou croisée de ces produits avec les produits chimiques que l’on retrouve malheureusement de plus en plus dans le corps de nos enfants.
Et qu’en est-il du programme d’indemnisation mentionné par Dr Ward dans l’article de Pauline Gravel ? L’accès à ce programme exige au départ que le patient soit représenté par un médecin, critère éliminant d’emblée bien des requêtes puisque le patient doit trouver non seulement un médecin qui croit en son histoire, qui prendra connaissance de tout le dossier médical du patient mais qui aura aussi le courage d’aller se battre contre l’establishment médical. Le programme québécois d’indemnisation de victimes d’immunisation est fort louable mais pour qu’il soit juste et accessible, il faudra que le gouvernement revoie ses procédures et s’assure de la transparence et de l’honnêteté intellectuelle de tous les membres y siégeant, ce qui ne fut pas le cas dans notre dossier.
Compétence scientifique douteuse...grâce au support de protagonistes du milieu médical, Pauline Gravel réussit à démolir le travail et la réputation de 3 médecins se retrouvant dans le documentaire de Lina B Moreco, soient les Dr Wakefield et les Geier. Une simple recherche aurait permis à Mme Gravel de constater que certains questionnements existent aussi au sujet du Dr Fombonne qu’elle utilise à grande pelleté comme référence scientifique et médicale dans son article.
http://www.ledevoir.com/2007/05/04/...
Et puis Dr Wakefield est-il le seul farfelu à avoir trouvé des virus de la rougeole, voire des bouts d’ARN du virus, dans les biopsies intestinales et le sang de huit enfants autistes tel que l’affirme Dr Fombonne ?
Allez donc fouiller un peu ici et là ...
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/...
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/...
Et puis selon l’article de Mme Gravel, le thimérosal, présent dans quelques vaccins qui se transforme dans le corps en éthylmercure n’est plus toxique ?
Allez donc fouiller un peu ici et là ...
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/...
http://toxsci.oxfordjournals.org/cg...
http://toxsci.oxfordjournals.org/cg...
Difficile de trouver ce qu’on ne cherche pas....
Si la Direction de la santé publique a à cœur la santé de sa population, de ses vieillards et des ses enfants, je crois sincèrement qu’elle devra ouvrir la porte à la discussion avec les médecins et les victimes d’effets secondaires, revoir le programme d’indemnisation qui manifestement ne répond pas à sa mission et se permettre de se questionner et de se repositionner par rapport à son programme d’immunisation universel.
Et non, la cinéaste Lina B Moreco ne vient pas de saper la confiance en la vaccination, au contraire. Elle vient de toucher à un sujet des plus tabous que tente ridiculement de faire taire les dirigeants de la santé publique en propageant d’absurdes discours, basés sur la peur, la culpabilité et le mépris de l’intelligence de la population. Ils seront les seuls à blâmer si la population, épuisée par tant d’incohérences et de mépris, perd toute confiance en eux, en leur intégrité et en leur transparence.
Pascale Beaumont, mère de Lauralie Beaumont victime d’un choc post-vaccinatoire et décédée à l’âge 8 ans.