Sommaire
- « … Le facteur de peur doit prendre du recul.
- le port d’un masque comporte « des risques bien connus
- « De nouvelles recherches montrent que les masques en tissu peuvent augmenter l’aérosolisation du virus SRAS-COV-2 dans l’environnement, entraînant une transmission accrue de la maladie… »
- La science n’a pas changé. La politique l’a fait.
Lors d’une conférence de presse , l’optométriste Robert Zoellner a déclaré :
« … Le facteur de peur doit prendre du recul.
Cette idée que je ne veux pas vous donner quelque chose que je ne sais même pas avoir est presque ridicule. Faisons preuve de bon sens. »
Le Dr James Meehan , MD, a suivi en avertissant que
le port d’un masque comporte « des risques bien connus
qui ont été bien étudiés et qui ne sont pas discutés dans l’analyse des risques.
« Je vois des patients qui ont des éruptions cutanées au visage, des infections fongiques, des infections bactériennes. Des rapports provenant de mes collègues du monde entier suggèrent que les pneumonies bactériennes sont en augmentation.
« Pourquoi cela pourrait-il être ? Parce que des membres du public non formés portent des masques médicaux, à plusieurs reprises… de manière non stérile… Ils deviennent contaminés. Ils les retirent de leur siège d’auto, du rétroviseur, de leur poche, de leur comptoir, et ils réappliquent un masque qui devrait être porté frais et stérile à chaque fois.
Le Dr Meehan ajoute :
« De nouvelles recherches montrent que les masques en tissu peuvent augmenter l’aérosolisation du virus SRAS-COV-2 dans l’environnement, entraînant une transmission accrue de la maladie… »
En conclusion, le Dr Meehan déclare :
« En février et mars, on nous a dit de ne pas porter de masque. Qu’est ce qui a changé ?
La science n’a pas changé. La politique l’a fait.
C’est une question de conformité. Ce n’est pas une question de science… Notre opposition utilise des études observationnelles rétrospectives de bas niveau qui ne devraient pas servir de base pour prendre une décision médicale de cette nature.